mardi 23 février 2010

INTERVIEW DE BENJAMIN FULFORD AU PROJET CAMELOT

Traduction de l'entretien téléphonique du
20 Novembre 2009
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Ici Kerry Cassidy, de Project Camelot ; je suis au téléphone avec Benjamin Fulford. Nous allons discuter de la situation économique, et d'un message qui vient de parvenir à Project Camelot disant qu'en janvier, on allait faire chuter le dollar et changer de monnaie. Et on vous conseille de changer tous vos dollars pour de l'or et de l'argent.

Kerry cassidy :Donc Benjamin, pouvez-vous nous parler des Chinois qui achètent principalement l'or ?

Benjamin Fulford : Ce qu'il faut que les gens des Etats-Unis comprennent, c'est que les Etats-Unis d'Amérique, le gouvernement constitutionnel, ne sont pas en faillite, et qu'ils n'ont pas de dettes. Les dettes sont dues par une grande entreprise – une grande entreprise privée nommée The United States of America Corporation ("les Etats-Unis d'Amérique S.A."), qui appartient au Federal Reserve Board (le Bureau des Gouverneurs de la Réserve Fédérale américaine, NdT), et au petit groupe de familles qui les possèdent.

Donc, ils veulent mettre l'intégralité de leur dette sur le dos du peuple américain, puisque ses contribuables la paient depuis des siècles.

Mais si le Federal Reserve Board devait se retrouver à sec, le peuple américain ne devrait pas un dollar, alors que le chiffre passerait immédiatement à l'équivalent de 10 000 000 $ pour chaque homme, femme ou enfant des Etats-Unis, si on laissait les gens de la Fed tomber en faillite.

Bon. Je voudrais aussi que les gens du Pentagone et des autres agences gouvernementales comprennent que nous n'agissons pas contre les Etats-Unis. Nous agissons contre un groupe de gangsters qui se sont emparés des Etats-Unis. Et nous désirons libérer le peuple américain.

Donc, plutôt que de leur permettre de proclamer la loi martiale, de dévaluer le dollar de 90% et de causer le chaos, je vous conseille juste de sortir de l'ombre et d'annoncer le retour du gouvernement constitutionnel.

Les Chinois et d'autres ont rencontré Obama et lui ont déniché environ mille milliards de dollars sur un an. Ils lui ont accordé le bénéfice du doute, mais ils tiennent compte de ses actes, pas de ses paroles – on continue de tuer des gens en Irak, on continue de tuer des gens en Afghanistan – et on n'a pas fermé Guantanamo ; en conséquence l'approvisionnement en argent est coupé depuis le 30 septembre.

Bon, ils [Obama et les gens qui le soutiennent, NdT] ont pu gagner un peu de temps en vendant des secrets militaires aux Chinois, en vendant des secrets militaires aux Russes, en [inaudible] amenant des missiles aux [inaudible] --

KC : OK, c'est – on est en train de vous perdre. Il vaudrait sans doute mieux…

BF : Oui… retirer – je suis désolé – retirer les missiles de Pologne, et deux ou trois autres choses.

Maintenant, ils se font un peu d'argent de ci de là, ils vendent de la drogue récupérée en Afghanistan, mais en fait, tout ce qu'ils sont capables de faire, c'est de gagner un peu de temps. Mais, c'est vrai, plusieurs sources sont d'accord pour dire que c'est le dollar qui va trinquer. Et si vous faites le calcul, il devrait s'effondrer à quelques pour cent de sa valeur.

KC : OK. Quand vous dites que le dollar va imploser, êtes-vous d'accord avec le message que je viens de poster sur Skype, affirmant que c'est prévu a priori aux alentours du 15 janvier, ou à peu près ?

BF : Eh bien, il y a une réunion de programmée pour le 6 janvier, et une autre pour le 30. Maintenant, votre source fait de toute évidence partie du cabinet d'Obama, et ça c'est son plan, mais cette personne n'est pas la seule dans le coup. En fait c'est un petit joueur.

Ils se préparent à dire : "Nous n'allons pas payer la dette, et nous allons juste déclencher la loi martiale et devenir un Etat-paria".

C'est ce qu'ils disent. Si tel était le cas, il y aurait probablement un blocus des Etats-Unis, et peut-être même la guerre – ce qui n'arrangerait personne. Il est bien plus intéressant de laisser les gangsters du Federal Reserve Board, tout ce tas d'escrocs et Wall Street tomber en faillite, et alors le Pentagone et les agences du gouvernement recevront des subventions pour utiliser leur technologie secrète et fabriquer des produits. OK ? Afin de remonter l'économie américaine.

Pour raisons de sécurité, les militaires US ont leur mot à dire sur des milliers de brevets. Ces brevets peuvent conduire à fabriquer des produits qui seront une bénédiction extraordinaire pour les Etats-Unis.

Vous savez, [inaudible], il est très important que vous compreniez que tout tourne autour du Federal Reserve Board, et autour du petit groupe de familles qui le possèdent et qui ont lavé le cerveau d'une grande partie du public américain. Cela ne concerne pas les Etats-Unis d'Amérique, nous n'agissons pas contre l'establishment militaire américain, ni contre l'establishment de la défense.

KC : OK. Donc, vous dites… vous dites en gros qu'on peut faire une distinction, d'une certaine manière, entre… vous suggérez avoir dit qu'on pourrait allouer de l'argent au gouvernement constitutionnel, après ce... cette récession. Qui va rendre cet argent disponible ?

BF : Eh bien, les Japonais certainement et les Chinois probablement, et puis un grand nombre d' autres pays, qui aimeraient voir les bons vieux Etats-Unis d'autrefois refaire surface. Vous avez ainsi des gens qui veulent entraîner avec eux vers le fond l'ensemble des Etats-Unis, mais il n'est pas nécessaire de les laisser faire. Après l'effondrement du Federal Reserve Board, il y aura un vaste plan Marshall pour toute la planète – y compris pour les Etats-Unis. Cela sera donc une extraordinaire bénédiction pour tout le monde, dès qu'on aura éliminé du système ces parasites.

C'est comme dans ce film où les aliens s'infiltrent dans le corps des gens – The Invasion of the Body Snatchers (L'invasion des profanateurs de sépulture) ? Le cerveau du corps politique américain a été envahi par une source alien et ils détruiraient les Etats-Unis. Et nous essayons de les faire sortir de votre cerveau et, savez-vous, de ramener les Etats-Unis à ce qu'ils sont censés être : une démocratie constitutionnelle.

KC : D'accord. Mais… mais ces gens qui… qui dirigent les Etats-Unis, sont en réalité les Illuminati, de ce point de vue. Et je ne les imagine pas disparaître dans la nuit, en douce. Je les vois plutôt chercher la bagarre.

BF : Eh bien, oui, ils vont chercher la bagarre, mais il y a une énorme faction, chez les Illuminati, qui nous soutient.

KC : D'accord.

BF : En gros, nous avons le Vatican, nous avons la BRI, et beaucoup de gens au Pentagone et dans le gouvernement US qui soutiennent cette idée.

Donc, nous avons affaire à la Société Thulé et aux Nazis, à cette faction-là. Pas à l'ensemble des Illuminati.

Et puis, bien sûr, il y a le reste du monde. Parce que, rappelez-vous, j'ai annoncé que je vis en Asie. Les Illuminati sont principalement un concept de Blanc – un concept Européen, Nord-Américain.

Et maintenant ils ont corrompu et fait chanter de nombreux dirigeants du monde entier, mais on est arrivé à un stade où tout peut basculer, où ils ne peuvent plus les intimider et, donc, ils se sont faits tellement d'ennemis qu'il ne leur reste plus vraiment de soutien.

Ils continuent à faire chanter beaucoup de gens, mais il se produit maintenant un effet boule de neige, et c'est impossible à arrêter.

KC : OK. Bon, à un moment vous disiez que… je devine que les forces orientales, dont vous faites plus ou moins partie en ce moment… une sorte de… je ne sais pas comment vous appelez ça, que ce soient les Chinois, la Mafia ou les sociétés secrètes…

BF : OK.

KC : …ou quoi que ce soit. Mais principalement…

BF : …OK…

KC : …vous disiez qu'ils éliminaient certains dirigeants si certaines choses ne se produisaient pas. Est-ce que…

BF : OK. Tout d'abord, c'était ma première suggestion, mais… il faut que vous compreniez qu'une Triade, ou une société asiatique, c'est comme une chambre de commerce. Ils ne font pas de choses illégales. Mais en cas d'urgence, les gangsters obéiront à la chambre de commerce, mais ils ne le feront pas si c'est illégal. Un peu comme la Mafia, quand elle a aidé le Pentagone pendant la deuxième guerre mondiale. Donc éliminons toute [idée d'une] association de gangsters, et vous comprendrez ce qu'il en est.

Et ce qu'il faut que vous sachiez, c'est que depuis ma première rencontre avec ces gens, beaucoup d'autres groupes ont surgi. Et maintenant, je fais partie de ce qu'on appelle la Société du Dragon Noir – à ne pas confondre avec la Rouge et la Verte. C'est un peu une sorte de filiale occidentale et japonaise – indépendante, mais fonctionnant à égalité et en partenariat avec les Chinois. Mais ce n'est pas une organisation chinoise. C'est international. Nous avons des membres en Europe, en Amérique du Nord, dans le monde entier, et il n'y a que deux vraies règles. La première, c'est que vous acceptez de travailler pour un but commun. Et la seconde c'est que, si quelqu'un vous attaque, on vous fournira une protection.

Et maintenant tout ce que nous voulons faire, c'est nous mettre en campagne pour éliminer la pauvreté, faire cesser la destruction de l'environnement, et développer les technologies qui ont été confisquées à la plus grande partie de la race humaine par une élite qui voulait les garder pour elle.

Voilà, c'est tout. C'est très simple. Et nous voulons aider le people américain. Nous voulons… voyez-vous… il y a environ 6 000 milliards de dollars qui attendent d'être investis dans de la technologie ou des produits américains, dès que ces gens de la Fed auront libéré le passage.

Donc, comprenez-le bien : il ne s'agit pas des Etats-Unis, il s'agit d'un groupe de criminels qui ont détourné votre système financier. C'est tout.

KC : OK. Et en ce qui concerne l'idée qu'une partie de l'or pourrait être du tungstène ?

BF : Eh bien, j'entends maintenant parler de ça par différentes sources, y compris par le MI6 [les services de renseignements extérieurs du Royaume Uni, NdT], le gouvernement chinois, et bien sûr, par seulement quelques personnes sur le Net. Il y a une bataille en ce moment sur les marchés des contrats à terme, avec des gens qui essaient de couler la Fed en achetant de l'or de cette manière, et en en demandant la livraison physique.

Et apparemment on a présenté aux gens beaucoup de tungstène… enfin, vous savez, plaqué or, en leur disant "Voilà ce qu'on va vous livrer", mais il s'agissait d'augmenter le ratio d'endettement sur les marchés à terme. Et maintenant, tout est testé et on a découvert qu'ils mentaient et qu'ils ne peuvent pas honorer leurs contrats. Ils ont promis de livrer de l'or, et ils en sont incapables.

Donc ils vont se retrouver en gros isolés du système financier mondial, comme s'il s'agissait d'une maladie grave.

Mais oui, les gens de la Fed – Fort Knox mériterait apparemment d'être renommé Fort Tungstène.

KC : OK, mais…

BF : Et la Banque d'Angleterre était également dans le coup.

KC : OK. Qui est donc maintenant en possession de ce prétendu tungstène plaqué or, et quelle en sera la conséquence sur le marché, et sur le prix de l'or, à votre avis ?

BF : Eh bien, les Chinois m'ont dit qu'ils n'en avaient pas acheté. Ils sont bien trop malins. Ils testent toujours tout ce qu'ils achètent, parce que leur pays est rempli de contrefaçons, depuis des milliers d'années, donc, voyez-vous, ils sont très prudents.

Je ne sais pas. Vous savez, je pense que pour une grande part ce sont des contrats à terme où, quand le contrat vient à échéance, le gars dit "OK, je vais vous payer". Mais il ne peut pas le faire. Donc, il s'agit de gens qui attendent la livraison d'or physique pour leurs contrats à terme, et qui finalement se rendent compte que ceux qui leur ont promis la livraison n'ont pas d'or.

Donc, vous pouvez avoir des informations plus précises en demandant à ces débiles de la finance de chercher dans les renseignements et les données des contrats à terme… Vous savez, qui a de l'argent se fait dépouiller, qui n'en a pas vend des produits qui ne lui appartiennent pas.

KC : OK. Mais pour commencer, pensez-vous que le tungstène appartient à un pays – ou à un groupe – en particulier ? Question numéro un…

BF : Eh bien…

KC : … et ensuite, est-ce que vous pensez que cela va affecter le prix de l'or, une fois que ce sera vraiment découvert ?

BF : OK. Eh bien, ça pourrait affecter le prix de l'or. Le problème, en fait, c'est quelque chose dont vous n'avez peut-être pas conscience : il y a un autre facteur ici. Quelque chose de connu sous le nom d'"or noir".

Autrement dit, il existe une énorme quantité d'or conservée hors marché par les Rothschild et les gens de la Fed, parce qu'ils perdraient leur pouvoir si cet or était accepté officiellement. Donc la vieille Famille Royale possède beaucoup d'or ; selon de nombreuses sources, il y a apparemment beaucoup d'or planqué aux Philippines. Autrefois ils n'acceptaient que l'or revêtu d'une marque donnée, provenant d'une raffinerie donnée. Et ils vous arrêtaient si vous essayiez d'acquérir tout autre or, même si c'était de l'or véritable.

Je me souviens qu'un certain nombre de gens se sont fait arrêter, il y a 20 ou 30 ans, parce qu'ils faisaient entrer au Japon de l'or des Philippines. Donc quand l'or noir sera autorisé sur le marché, cela signifiera que… qu'un groupe veut garantir le dollar par de l'or. Tous les dollars émis jusqu'à septembre seront garantis par 1/28ème de gramme [env. 0,036 g] d'or selon le plan de ce groupe précis.

Et cela parce que 90% de tous les dollars émis appartiennent à des non-Américains. Et ils ne tiennent pas à ce que ces dollars deviennent du papier sans valeur.

Donc, même si le dollar US actuellement produit par la Fed se dévalue au point de ne valoir que quelques cents, les gens qui possèdent de l'or, des dollars honnêtement fabriqués et gagnés, vont se voir offrir cette chance. Aucun accord définitif n'a encore été conclu à ce sujet, mais des négociations sont en cours.

KC : OK, mais nous ne pouvez pas nommer les gens qui détiennent, pour ainsi dire, cet or noir?

BF : Je sais qui ils sont, mais non, je ne peux pas les nommer. Parce que beaucoup d'entre eux se feraient tuer. Donc ils essaient de rester anonymes… pour des raisons très valables.

KC : OK, mais vous êtes en train de suggérer qu'ils veulent principalement garantir le vrai dollar, après la chute du dollar, et c'est comme si, avec cet or noir… comme s'ils sortaient de l'ombre avec cet or noir.

BF : Eh bien, [c'est vrai pour] les dollars vendus dans le monde jusqu'à 2008. [Pour] tout le reste, après cette date, pas question. Et ensuite ils changeraient probablement son nom pour en faire une nouvelle monnaie. Mais, vous savez, il ne s'agit là que de la proposition d'un seul bord. La position des Chinois semble être – et je tiens ça de bonnes sources, en relation directe avec le Politburo – qu'ils ont maintenant rendu le renminbi [le yuan renminbi, nom officiel de la monnaie chinoise, NdT] convertible avec la plupart des monnaies du monde, à l'exception de l'euro et du dollar.

KC : Pourquoi à l'exception de l'euro ?

BF : Eh bien, parce que c'est lié à la question de savoir qui contrôle le système financier. Voyez-vous, ils n'acceptent toujours pas que le renminbi soit convertible, qu'il soit changé en dollars ou en euros. Vous savez, le seul…

KC : OK, donc vous suggérez qu'ils…

BF : … à être convertible, c'est le dollar de Hong-Kong, mais maintenant, voyez-vous, les Saoudiens, les Japonais, les Russes, les Sud-Américains, presque tout le monde commerce directement avec la Chine en utilisant sa monnaie locale, et le renminbi. Autrefois il fallait passer par le dollar US, pour… passer du, disons… vous savez, du riyal saoudien, au renminbi. Maintenant ils le font directement, sans intermédiaire. Donc ils contournent tout simplement le système financier existant.

KC : Je comprends. Donc, vous voulez dire que l'Union Européenne refuse de faire ça ? Donc le refus vient des gens qui gèrent l'Union Européenne et, par conséquent, l'euro n'entre pas dans ce système ?

BF : C'est une question de pouvoir, voyez-vous. Les gens de l'Union Européenne, ils avaient prévu de… je veux dire, je pense qu'ils ont volontairement fait imploser les marchés financiers US. Ce n'était pas un accident.

Mais ils voulaient créer le problème, et leur solution, c'était de transformer le FMI en une sorte d'institution financière mondiale, et d'émettre ces fameux droits d'emprunt spéciaux (special borrowing rights).

KC : D'accord.

BF : Le problème avec le FMI, c'est que, par exemple, la voix de la Belgique compte plus que celle de la Chine. Donc le reste du monde dit : "NON. Nous savons que vous êtes à l'origine du problème, mais nous n'allons pas accepter votre solution".

Et l'autre problème, c'est que de nombreux pays de la zone euro, par exemple l'Italie, l'Espagne et la Grèce… apparemment l'Allemagne n'accepte plus les euros émis par les Italiens, les Espagnols ou les Portugais, par exemple. Donc l'euro lui-même pourrait se diviser. En d'autres termes…

KC : C'est une dynamique intéressante, cette histoire d'euro qui se divise.

BF : Oui. Si vous voulez avoir une idée plus précise des choses, regardez simplement quels pays sont depuis longtemps en état de déficit chronique, par rapport aux autres.

En d'autres termes, quels pays se contentent d'imprimer de la monnaie, pour acheter des produits au reste du monde ? Alors vous pourriez voir où se concentre le problème. Vous verrez qu'il s'agit de l'Angleterre, des Etats-Unis et des pays méditerranéens.

KC : Mm.

BF : D'une manière générale, vous savez, ces pays ne produisaient rien. Ils se contentaient de fabriquer du papier.

KC : Et c'est pourquoi… pourquoi pensez-vous que, par exemple, l'Allemagne ne veut plus faire affaire avec… ni accepter ces euros-là ?

BF : Soutenir ces pays leur coûte quelque chose comme 40 milliards d'euros par an. Et les macro-statistiques, dans leur ensemble, indiquent quelque chose de ce genre.

KC : C'est sûrement un petit peu plus complexe que ça. Est-ce que ça signifie que, par exemple, l'euro italien n'est pas garanti par la même quantité d'or que l'euro allemand ? Je veux dire : sur quoi est-ce que c'est fondé ?

BF : Eh bien, vous savez, il n'était pas garanti par de l'or. Je veux dire qu'à l'origine vous garantissiez l'euro en fonction de la qualité réelle de votre économie – c'est-à-dire avec vos usines, avec votre production agricole – et dans des pays comme l'Allemagne et le Japon, où ils subissent une hyperinflation ? Les banques centrales font très, très attention à ce que leur monnaie soit garantie par une authentique activité économique.

Mais les Etats-Unis, l'Angleterre, et les pays de l'Europe du Sud ne soutenaient pas leur monnaie nationale par une authentique activité économique.

Donc il n'est pas nécessaire de [garantir le dollar par de l'or] [(?)inaudible], mais il faut le soutenir par quelque chose de réel. Vous savez, cela pourrait être du blé, du chocolat, n'importe quoi de concret. Pas seulement une illusion, comme celle qu'ils ont essayé de faire gober aux gens.

KC : OK. Bon, pour revenir à la situation américaine, nous entendons dire qu'il pourrait y avoir de fausses nouvelles comme quoi le dollar est sur le point de s'effondrer et qu'en fait, en réalité, le dollar va en vérité remonter.

Avez-vous entendu parler de ça – de ce type d'information ?

BF : Eh bien, une fois de plus, cela dépend de la façon dont les choses vont se terminer. S'ils acceptent la proposition du dollar garanti par de l'or, alors le dollar va monter. Mais une grande partie des produits dérivés et de la monnaie créée frauduleusement seront simplement effacés des registres.

Donc, en d'autres termes, tous ceux qui possèdent des dollars gagnés par du vrai commerce, en vendant de vrais produits, vont voir le dollar monter. Et tous ces milliers, et peut-être même ces millions, de milliards de dollars générés par ces fameux produits financiers, qui sont frauduleux, ne vaudront plus rien.

KC : OK. Donc, qu'est-ce que…

BF : Donc, ils essaieraient d'éliminer tout ce qui est frauduleux dans le système du dollar, et ensuite ils garantiraient par de l'or tout ce qui est authentique. Et je suppose que le gouvernement américain commencerait alors à émettre des dollars, ou une monnaie gouvernementale, comme ils ont essayé de le faire sous Kennedy, et comme l'a fait Lincoln.

KC : OK. Est-ce que vous êtes au courant du rôle de Goldman-Sachs dans tout ce scénario ?

BF : Eh bien, Goldman Sachs est pour moi d'une certaine façon l'épicentre du mal. Par là je veux dire qu'ils financent le terrorisme, m'a-t-on dit, et qu'ils travaillent pour l'élite. Mais ce que je veux [surtout] dire, c'est qu'à mon avis, il faudra que Goldman-Sachs boive le bouillon. Parce qu'ils ont agi de manière criminelle, vis-à-vis de la plus grande partie de la communauté financière mondiale : ils ont manipulé les marchés, manipulé les monnaies – ils ont fait un tas de choses tout bonnement pas correctes d'un point de vue éthique.

KC : D'accord. Etes-vous conscient qu'ils ont bénéficié de diverses manières de tout ce scénario, tandis que d'autres…

BF : Ils prennent en compte tous leurs bénéfices, qu'ils inscrivent sur les registres, et en ce moment ils prennent aussi en compte toutes leurs pertes, qu'ils enlèvent des registres;

Ce sont eux qui, je crois, étaient impliqués dès l'origine dans l'élaboration de ce krach. Donc, bien sûr qu'ils vont en retirer du profit !

KC : OK.

KC : Mais ce qu'ils ont fait est criminel, et il serait donc normal qu'ils se retrouvent en prison.

KC : OK. Et à propos de cette information que nous avons obtenue sur Skype, et qui raconte en gros que 70 banques vont couler après le 1er janvier ?

BF : Eh bien, ils veulent… voyez-vous, leur plan c'est de faire un remake de 1907, et de provoquer la faillite de toutes les banques, sauf de celles qui leur appartiennent, savez-vous ? Avec, comme conséquence, d'élargir tout simplement leur monopole.

Donc, ou bien ce sont les grosses banques centrales qui boivent le bouillon, ou bien il y aura de nouvelles actions frauduleuses faites sur le dos du peuple américain.

KC : D'accord.

BF : Ce n'est pas de 70 banques dont il faut se débarrasser, mais de 6.

KC : (Rires)

BF : Les grosses.

KC : Vous parlez des plus importantes.

BF : Je parle de celles qui sont propriétaires du Federal Reserve Board.

KC : D'accord.

BF : Je parle de celles qui ont créé ces produits financiers frauduleux, qui ont engrangé des profits astronomiques et qui, quand les choses ont mal tourné, sont allées dissimuler toutes leurs pertes dans les Iles Caïmans.

KC : OK.

BF : Vous savez, ils utilisent deux types de registre. Et s'ils ne satisfont pas aux normes Bâle II, ça signifie qu'ils ont deux jeux de livres comptables : les pertes sur l'un, les bénéfices sur l'autre.

KC : OK. Pensez-vous que la prise de possession par les Chinois de l'or qu'ils sont en fait en train d'acquérir en ce moment, est…

BF : Bon, les Chinois ne sont toujours pas convaincus que cet or existe, d'accord ? Ils vont le tester, le vérifier et s'assurer avant de le prendre qu'il n'y a pas d'arnaque. Donc c'est ce qui est en train de se négocier en ce moment même.

KC : OK…

BF : Ils doivent s'assurer que cet or existe, avant de donner leur accord. Voilà leur situation.

KC : Mais…

BF : Maintenant, ce que je voudrais également dire sur les Chinois, c'est qu'ils parcourent le monde, et viennent en aide aux pays pauvres, en les aidant à se développer, et en essayant d'être polis et de faire le bien.

Les Américains ont tué 1 600 000 personnes en Irak. Ils tuent des gens au Pakistan et en Afghanistan, tout en encourageant l'industrie de la drogue – ils se sont fait voler le pouvoir par des gangsters. Considérez seulement ce qu'ils font, pas ce qu'ils disent.

Et je veux voir la civilisation occidentale montrer le bien qu'elle peut faire, une fois qu'ils se seront débarrassés de ces gangsters, qui ont pris le contrôle du cœur de leur système.

Nous pouvons être meilleurs que les Chinois, si nous le voulons.

KC : OK. Et en ce qui concerne cette histoire de grippe porcine, et aussi : que se passe-t-il en Ukraine ?

BF : Eh bien, ce sont eux, vous savez, qui font leur numéro : qui essaient de menacer et…

KC : Bon, quand vous dites : "Ce sont eux", ce sont avant tout les Illuminati, ce sont eux qui sont derrière ça ?

BF : Bon, OK, c'est la Société Thulé. Ce sont les propriétaires des laboratoires pharmaceutiques, des compagnies pétrolières et des entreprises militaires.

Donc, il faut se rappeler que les Illuminati ne forment plus un bloc monolithique. Il faut bien séparer certains groupes de ploutocrates Nazis eugénistes d'autres groupes qui trouvent ça vraiment épouvantable. Donc un grand nombre de gens chez les Illuminati nous aident en ce moment même.

KC : OK, quelles factions des Illuminati nous aident ? Pourriez-vous donner le nom d'une faction précise ?

BF : Eh bien je pense que le Vatican est maintenant du bon côté, et cela suggère que…

KC : Qu'est-ce qui vous fait croire ça ? Parce que, pour être franche, je trouve ça très discutable.

BF : Eh bien ils m'ont envoyé Leo Zagami pour en parler et lui, apparemment, est sorti de l'ombre, il a raconté beaucoup de choses vraies, ensuite ils lui ont pris son enfant, et les Jésuites l'ont forcé à dire tout un tas de trucs bizarres et idiots, de façon que les gens ne le croient plus du tout, mais je l'ai trouvé tout à fait crédible.

Après ça j'ai eu des contacts avec des banquiers du Vatican et beaucoup d'autres gens, et on dirait qu'ils apportent maintenant leur soutien – mais une fois de plus, je ne le croirai que lorsque je les verrai agir, OK ?

Les pourparlers actuels sont en leur faveur, OK ? Mais, une fois de plus, c'est ce qu'ils feront qui prouvera d'où ils sortent.

KC : OK, bien, il faut que je dise que Project Camelot a interviewé Leo Zagami, il y a un certain temps déjà. Il est très clair qu'après ça, il a été complètement récupéré. Il a été ramené sous la férule des Illuminati et, il est évident, quand vous le rencontrez, qu'il a été programmé au énième degré. Et il m'avait en fait appelée personnellement pour me dire qu'on le torturait.

Donc il faut que je vous dise que tout ce qu'il a pu vous raconter est nécessairement suspect.

BF : C'est vrai. Je veux dire, je ne crois pas sur parole ce qu'il m'a dit. En fait, ce sont plutôt les autres gens avec lesquels j'ai été en contact depuis qui disent que, c'est vrai, on le considère comme "grillé", même dans ce groupe-là. Mais il s'agit d'un banquier du Vatican, et de deux ou trois autres personnes qui semblent correctes.

Mais, encore une fois, ils ont réellement arrêté les gens du Federal Reserve Board en Italie, avec 134,5 milliards de dollars en titres. C'était une manœuvre de la Fed américaine – une tentative qui avait pour but de causer des problèmes financiers. Et elle a été déjouée par le Vatican, OK ? Donc ils se sont montrés sous un jour favorable en faisant une seule bonne action. Jusqu'à présent.

KC : OK. Où avez-vous obtenu cette information ?

BF : Maintenant, des gens que je crois être généralement du bon côté, ce sont les Suisses.

Et j'ai toujours pensé que la BRI, la Banque des Règlements Internationaux, était au cœur des ténèbres. Et elle n'appartient à aucun gouvernement, c'est vrai. C'est une espèce d'organisation ultra-secrète, mais ce sont eux qui sont à l'origine du fameux accord Bâle II qui oblige tous ces gens à inscrire sur leurs registres comptables leurs valeurs toxiques.

Et autrement les Suisses ont toujours eu la Croix Rouge. Et je pense qu'au cours des années la Croix Rouge s'est toujours montrée neutre, par ses actes, et elle a toujours aidé les blessés, en bonne organisation.

Donc ce que j'entends dire actuellement c'est que la Reine d'Angleterre, la Banque d'Angleterre, les Rothschild, Papa Bush et les gens de la Fed, qui ne veulent pas perdre l'immense pouvoir qu'ils tiraient de leur capacité à battre monnaie à partir du vent, sont essentiellement ceux qui font obstacle à la paix mondiale.

KC : OK. Mais que proposez-vous pour vraiment éliminer cette menace ? Selon vous comment vont-ils se faire dépouiller de leur puissance en Amérique ?

BF : Allez juste à Washington arrêter environ 200 personnes, et ça y est, le tour est joué. Fin du problème.

KC : OK, mais vous parlez de notre gouvernement. Vous parlez d'une sorte de coup d'état au sein de notre gouvernement, comme si cela pouvait fondamentalement se produire.

BF : Oui, parce qu'il faut que vous compreniez que ce ne serait pas un coup d'état dans la mesure où, savez-vous, votre démocratie vous est confisquée depuis 2000. Et donc, ce serait une question de…

KC : Eh bien en fait je dirais que notre démocratie nous est confisquée depuis la mort du Président Kennedy.

BF : Sans aucun doute. Mais les choses sont devenues vraiment moches à partir de 1985, quand George Bush Père est devenu vice-président.

Mais le fait est qu'arrêter ces gens serait un acte tout à fait légal. Parce qu'ils agissent contre la constitution, et qu'ils n'ont pas été élus démocratiquement. Donc, ce ne serait pas un coup d'état contre le gouvernement démocratiquement élu, ce ne serait pas anticonstitutionnel.

KC : Je comprends. Mais les gens que vous leur suggérez d'arrêter seraient l'administration actuelle ?

BF : Eh bien il s'agirait de George Bush Junior, Obama, de trois membres de la Cour Suprême, et d'à peu près la moitié du Congrès et du Sénat.

KC : (Rires)

BF : Principalement.

KC : OK. Je comprends ce que vous ressentez, mais est-ce que ça n'est pas un petit peu irréaliste ?

BF : Eh bien attendez donc de voir ce qui va se passer en janvier, et nous verrons.

KC : OK. Mais qui avant tout voyez-vous prendre ça en main ?

BF : Eh bien j'espère que ce sera le Pentagone, les agences à nom alphabétique et les patriotes de ces différentes organisations.

Et comme ils ne s'inquiètent que de leurs fins de mois, nous leur disons : "Nous vous paierons vos traitements dès que vous nous aurez débarrassés de ces ordures", savez-vous ?

KC : OK. Et les gens dont vous dites qu'ils vont essentiellement "payer leurs fins de mois", ce sont les Chinois ?

BF : Non, pas les Chinois. Le monde entier.

KC : Comment est-ce que… OK, quel est le rôle du monde entier dans cette histoire ?

BF : Eh bien, c'est simple. Nous disposons de cette énorme machine militaire. Et nous avons des gens qui… peut-être qu'ils ne voudraient pas vivre la situation qui a suivi la chute de l'Union Soviétique. Où un général se retrouve tout d'un coup chauffeur de taxi à Londres.

Donc nous leur avons dit : nous allons vous engager dans le cadre d'une espèce de force armée mondiale, pour nous protéger et aider à résoudre les problèmes environnementaux, et pour veiller à la faire évoluer, d'une organisation qui tue et vole au profit des oligarques, à une organisation qui aide la veuve et l'orphelin et de plus explore l'univers, fait de la recherche high-tech, et des choses de ce style. Autrement dit, il s'agit d'une organisation merveilleuse qui a été utilisée pour des horreurs.

KC : OK. Bon, je peux comprendre comment vous voyez les choses, mais je dois dire que ça paraît assez idéaliste et pas très réaliste. Parce que ces gens-là ne vont pas facilement renoncer au pouvoir, donc, autrement dit, cela ne va pas se passer sans effusion de sang.

BF : Eh bien, c'est déjà le cas. Vous savez, nous veillons au grain. Le Federal Reserve Board va tomber en faillite, et une fois qu'ils n'auront plus d'argent pour payer les gens, savez-vous, ça va… on verra ce qui se passera. Les mercenaires ne restent mercenaires que tant qu'ils sont payés.

KC : OK. Donc vous pensez que les forces armées vont se révolter contre le…

BF : J'espère qu'ils le feront. Je ne sais pas. Je veux dire, je ne… je ne suis pas sur place.

KC : Bon, est-ce que vous avez une idée des choses ? Je veux dire, en espérant… ça semble… J'apprécie ce que vous essayez de faire…

BF : D'accord. J'ai un contact à la CIA, représentatif de la faction high-tech -- genre vaisseau Starship Enterprise -- du Pentagone et des agences. Et ils donnent l'impression de désirer nous accompagner dans nos plans.

KC : OK. Et quand vous dites :"nos plans", qui…

BF : Et ensuite, j'ai des gens du MI6, et aussi toute cette faction, liée aux Britanniques, qui soutiennent nos projets.

KC : OK.

BF : Donc certaines personnes puissantes, appartenant à votre establishment, qui travaillent avec nous.

KC : Quand vous dites…

BF : Et ensuite j'ai de mon côté tous les théoriciens du complot qu'on voit sur Internet, vous savez, Alex Jones et Jeff Rense, et vous autres, tous ces autres gens qui, je crois, soutiennent également cette idée.

KC : Bon, certainement. Mais quand vous dites "notre idée", et que vous dites "notre", est-ce que vous parlez uniquement de cette Société du Dragon Noir dont vous êtes membre ? Ou bien parlez-vous d'un groupe plus important ?

BF : Bon, écoutez. Je pense qu'il s'agit en fin de compte des habitants de la planète Terre. Je veux dire, vous allez dans la rue et vous demandez à quelqu'un pris au hasard : "Etes-vous pour la paix dans le monde ?" Il vous répondra probablement oui. "Croyez-vous que nous devrions faire campagne pour éliminer la pauvreté ?" Il vous répondra probablement oui.

Et si vous lui demandez : "Si tout un ensemble de technologies fantastiques vous avaient été dissimulées et que nous allions vous les apporter, est-ce que vous voudriez que cela se fasse ?" Il vous répondra probablement oui.

Donc j'en déduirais que probablement 99% de l'humanité soutiendraient ce que nous sommes en train de faire – s'ils le comprenaient.

KC : OK. Mais pensez-vous que, par exemple, les gens qui sont au pouvoir en Chine vont réellement rendre l'énergie libre disponible pour leur propre peuple ? Est-ce que c'est là votre philosophie ?

BF : Eh bien, le problème avec l'énergie libre, c'est qu'il faut faire les choses de façon à ne pas créer de troubles à l'ordre public. Tenez, par exemple, il y a tous les gens qui travaillent dans le secteur pétrolier, ces gens [inaudible] nous ont contactés et nous ont dit, avec beaucoup de bon sens : "Nous ne voulons pas retourner garder les chameaux".

Donc l'idée serait de commencer par utiliser ces technologies pour faire, par exemple, reverdir les déserts. En d'autres termes, ne détruisez pas ce qui existait avant. Construisez simplement du neuf autour de l'ancien.

Comme par exemple, au lieu de détruire le centre de Paris pour construire des gratte-ciel, vous créez tout un nouveau quartier de tours, et laissez le centre de Paris tel quel.

Donc il ne s'agit pas de prendre aux riches pour donner aux pauvres. Il s'agit de rendre chacun plus riche. Il s'agit de le faire sans que personne n'y perde. Il y aura tant de gâteau à se partager que chacun va se rendre compte à quel point on a été stupide de supprimer ça si longtemps.

KC : OK. Bon, je suis sans aucun doute d'accord avec cette philosophie. Mais ce que j'essaie de dire ici, c'est que l'énergie libre, et les nouvelles énergies, si vous voulez, sont séquestrées dans chaque pays par les pouvoirs en place. Et cachées aux gens.

Et donc vous proposez un raz-de-marée de changements qui impliqueront le gouvernement de pays comme le Japon, comme la Chine, et d'ailleurs, même le reste du monde.

En ce moment, il y a des gens dans d'autres pays, y compris l'Australie et ailleurs, qui créent des appareils à énergie libre ou des appareils sur-unitaires, comme ils les appellent, etc., et ces gens sont pour la plupart mis au secret, emprisonnés, enlevés ; ils sont…

BF : Oui, je sais. Mais pendant même que nous en parlons, nous construisons des usines, OK ? Les choses ont déjà commencé.

KC : Quand vous dites "nous", vous parlez de qui ?

BF : Du Japon, des Japonais, et savez-vous, c'est en train de se passer. On ne pourra pas l'arrêter.

KC : OK.

BF : Nous devons seulement nous assurer que nous ne provoquons pas de troubles sociaux, ou que nous ne créons pas une grande frange de démunis qui ensuite nous en voudront.

Il faut donc le faire de manière à ce que tout le monde puisse y trouver son compte – y compris les pétroliers et les militaires, et tous les autres. [Inaudible]

KC : OK. Bon… Benjamin, comment voyez-vous 2012 ? Voyez-vous d'éventuels bouleversements sur Terre ?

BF : Eh bien, je pense que nous devrions faire de cette date-là une grande fête, et en garder la trace comme d'une nouvelle façon, comme d'un nouveau départ pour la planète Terre. Mais est-ce que je crois que le ciel va s'ouvrir en deux et que des ovnis longs de plusieurs kilomètres vont se montrer et d'autres trucs de ce genre ? Et bien, je le croirai le jour où je le verrai.

KC : En fait, je vous demande votre avis sur les changements physiques de la Terre. Parce qu'il se trouve que vous êtes au Japon. Et si vous prêtez attention à ce qui va se produire au niveau de l'alignement des planètes, du centre galactique, de l'énergie qui en découlera, de l'activité solaire, et aussi de cette autre énergie provenant de la partie de l'espace dans laquelle nous entrons et qui va apparemment affecter notre planète très directement, à mesure que nous nous rapprochons de 2012, et qui pourrait affecter certains pays, comme le Japon particulièrement, et modifier le tracé des côtes, etc. Est-ce que vous adhérez à cette façon de voir les choses ?

BF : Ecoutez. J'ai étudié l'aspect scientifique et tout le reste, et je le croirai quand je le verrai. Mais si on se contente de… s'ils se contentent de nous menacer d'utiliser HAARP [High-frequency Active Auroral Research Program, un programme scientifique et militaire américain, NdT], eh bien on a déjà vécu ça. J'en ai déjà parlé. Il y a déjà eu tant de rumeurs alarmantes...

KC : OK. Et le gouvernement japonais alors ?

BF : …au cours de l'Histoire. Vous savez, il y a eu tellement de fois où on a pensé que le monde arrivait à sa fin, et où ça n'a pas été la fin...

Je crois que nous autres les humains devons tout faire par nous-mêmes. Je ne vais pas attendre les bras croisés l'arrivée des bouleversements terrestres, ou des changements galactiques, ou les ovnis. Je dis : faisons tout nous-mêmes. Nous avons maintenant les moyens technologiques de vivre éternellement, et nous avons ceux de vaincre la pauvreté, nous savons comment arrêter la destruction de l'environnement. C'est juste une question d'organisation de la société. Ça n'est plus un problème technique. C'est un problème politique.

Donc je ne vais pas attendre sans rien faire les changements galactiques, ni les aliens, ou un moyen de remettre la planète en état. Ça, nous pouvons le faire nous-mêmes.

KC : D'accord.

BF : Et si quelque chose se produit, alors nous nous en occuperons quand ça arrivera.

KC : Je comprends. Je me demandais seulement si certains des contacts que vous avez dans le gouvernement japonais ou dans les sociétés secrètes sont un tant soit peu concernés par les éventuels bouleversements physiques qui pourraient se produire sur cette planète au cours des deux prochaines années.

BF : En ce moment la grande théorie ici, c'est que l'establishment secret américain a planifié un faux Armageddon. OK ?

Le renseignement le plus récent que nous ayons, c'est que Bush et ces gens-là vont fabriquer un faux Armageddon, le Projet Blue Beam, en utilisant leurs machines à hologrammes, et leur HAARP et, savez-vous, ils vont se servir de…

KC : Eh bien, en réalité… OK. Je comprends ça. Mais alors, si vous parlez d'Armageddon, et vous en avez en fait parlé à Leo Zagami, la seule chose qu'il nous ait dite, c'est que ce sont en réalité les Illuminati et le Vatican qui vont militer en faveur du scénario Armageddon.

BF : Eh bien, nous leur avons dit, tout à fait clairement, que s'ils croient vraiment, réellement, qu'il va s'agir d'une sorte d'énorme moisson d'âmes, alors il va falloir qu'ils prouvent leur sincérité en acceptant d'être en première ligne.

Et quand je leur ai signalé ça de cette manière-là, ils m'ont répondu : "Mm hum. Eh bien, ça pourrait être un problème." (Rires), savez-vous ?

KC : (Rires)

BF : Les choses sont différentes quand vous tuez des gens à la peau brune à l'autre bout du monde, de ce qu'elles sont quand c'est votre famille ou vous-même qui mourrez. Mais ils m'ont raconté qu'ils avaient un plan pour manipuler l'Histoire jusqu'à 2012… mais qu'ils ne savaient pas ce qui se passerait après ça, mais cette faction-là, la Société Thulé, c'est-à-dire les Nazis… voulaient tuer un paquet de gens, implanter des micro-puces dans les survivants, commencer un Reich de mille ans et créer une race de surhommes, vous savez, de même qu'une classe de sous-hommes pour les servir.

KC : Oui, vous avez à peu près tout bon.

BF : Eh bien, nous n'avons pas l'intention de les laisser faire ça, savez-vous ? Nous sommes en train de faire tout notre possible.

KC : Je comprends. Bill Deagle dit qu'une de leurs plus importantes usines de création de ces surhommes, en fait des androïdes, ou des cyborgs si vous préférez, c'est-à-dire une race de robots, est située sous terre, quelque part en Chine. Avez-vous entendu quelque chose à ce sujet ?

BF : Non, mais les Chinois m'ont effectivement raconté qu'on leur avait fait faire un tour des bases souterraines américaines. Ils ne veulent pas me dire ce qu'ils ont vu là-bas, mais ils ne croient pas que ça va être la fin du monde.

KC : OK. Bon, je ne crois pas non plus moi-même en fait que ça va être la fin du monde. Et je pense que la plupart des gens s'accorderaient pour dire que le monde ne va pas se terminer, mais la question est de savoir si nous allons subir des événements qui vont soit changer la vie telle que nous la connaissons, soit modifier le visage de la planète.

BF : Je le crois, oui. OK. Sans aucun doute.

Un célèbre mathématicien français a prédit le jour de sa mort – vous savez, en faisant des calculs – et quand le jour est arrivé, il a eu tellement peur qu'il s'est suicidé.

KC : (Rires)

BF : Maintenant, je pense qu'on peut faire de 2012 un tournant historique, savez-vous, [inaudible] qu'on n'a pas vu depuis des siècles – si nous le voulons.

Et je dis, oui, allons-y et faisons-le. Je pense que toutes les religions monothéistes souffrent du même problème : elles pensent que le monde va s'arrêter un jour donné. Et donc je dis : d'accord, arrêtons-le une bonne fois, et réinitialisons-le, de façon à éliminer ça de votre système.

KC : Mmh mmh.

BF : Je crois donc que c'est ce qu'il faudrait qu'on fasse. Nous devrions faire de 2012 une date à nous rappeler, mais il faut que ça ressemble à une énorme fête, à des méga-festivités.

KC : OK.

BF : Pas à un genre de massacre de masse. OK ?

KC : Oui, oui ; ça me plaît. OK.

Bon, et cette idée qu'il y a des vaisseaux extraterrestres stationnés tout autour de la planète ? En veille, principalement.

BF : Eh bien, quand je verrai les ET faire du shopping dans les centres commerciaux, et que je serai leur ami, je saurai de façon indéniable qu'ils sont ici, et qu'ils vont faire partie de …

KC : OK. Mais vous personnellement, vous n'avez jamais expérimenté de contact. Est-ce que c'est vrai ?

BF : J'ai beaucoup d'expériences intenses pendant mon sommeil, ou quand je fais du voyage astral. Je vois des choses qui, savez-vous – je pense qu'il me faudrait toute une batterie de super-ordinateurs pour décrire ça. On m'a montré le début des temps, comment les mathématiques de l'univers fondamental… On m'a montré toutes sortes de choses.

Malgré tout ce que je vois, je me retrouve chez moi, à [inaudible], au Japon, dans cette réalité-ci, dans ce monde-ci, avec des tables dans lesquelles je peux me cogner, et de la nourriture que je mange. Savez-vous ?

Donc, quels que soient les événements futurs, je crois que nous devons régler ça ici-même, sur cette planète. Je ne vais pas attendre les bras croisés que des ovnis géants apparaissent dans le ciel. Si ça se produit, très bien, ça sera merveilleux. Mais je crois que tout dépend de nous.

KC : OK.

BF : Nous sommes ce que vous pourriez appeler le tranchant du ciseau, ou la pointe du diamant. Et, quoi qu'il arrive, je pense que toutes les différentes lignes temporelles se concentrent sur nous.

Donc nous sommes comme… la pointe… la singularité à l'origine d'une sorte de big bang. Tel est, je crois, notre potentiel.

KC : OK. Bon, merci Ben. C'est en réalité une noble philosophie, et j'apprécie que ce soit votre point de vue.

BF : Quoi qu'il en soit, faisons…

KC : Quelques mots encore, pour finir, sous forme de mise au point ? Ce que vous voulez communiquer au public ? Parce qu'en cette période notre audience est tout à fait conséquente. Donc beaucoup de gens entendront ceci.

BF : Eh bien, j'aimerais dire que les habitants de la planète Terre veulent aider les Américains à se sortir de ça, avec le moins de heurts possible, et une fois qu'ils se seront débarrassés de la Fed… se débarrasser de la Fed [évitera à] chaque homme, femme ou enfant des Etats-Unis [d'avoir à payer] au minimum 10 millions de dollars. OK ? Voilà mon message final.

KC : OK.

BF : Et le monde entier veut vous aider.

KC : OK. Merci beaucoup, Ben. C'est très bien, et j'apprécie cette mise au point.

BF : Je vous en prie.

KC : OK. Et nous sommes vendredi 20 novembre 2009, Project Camelot. Merci beaucoup.


Cliquez ici pour écouter l'enregistrement audio en version originale

Bill Ryan and Kerry Cassidy
support@projectcamelot.org

http://projectcamelot.org/Benjamin_Fulford_20_November_2009_fr.html

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