J’ai un sentiment d’urgence en ce moment. Pour garder mon optimisme, je dois parvenir à lancer un avertissement concernant une menace réelle. Lorsqu’elles sont actuelles ou éminentes, Il n’est pas négatif de prendre conscience d’évènements périlleux. Il est au contraire dangereux de les ignorer.
Le contexte ou se dessine le péril que je cherche à dénoncer est apporté par la transformation radicale de notre monde grâce à la circulation croissante de l’information. Paradoxalement, cette nouvelle ouverture sur le monde, qui apporte grand nombre de bénéfices, est aussi cause d’un profond désarroi parmi les classes dirigeantes. Le dévoilement soudain des structures du pouvoir demeurées cachées jusqu’à maintenant est de nature à déstabiliser nos société de façon alarmante. Un si gros mensonge dévoilé risque de provoquer un choc capable d’effacer la vérité, et de celle-ci, l’humanité ne peut s’en passer. Pas maintenant, pas aussi rapidement. Les croyances que nous entretenons sont vitales pour maintenir la loi et l’ordre. Qu’elles soient constituées de demi-vérités n’empêche pas qu’elles soutiennent le fragile équilibre de nos sociétés.
Nous savons que certains policiers sont corrompus. Allons-nous pour autant abolir la police? Qui d’entre nous n’aurait pas le réflexe de les appeler à l’aide lorsque nous sommes en péril? N’est- t-’il pas rassurant de croire qu’ils viendront à notre secourt? De cette assurance, nous sommes dépendants, même lorsque nous maudissons la loi qui nous opprime. Le maintient de l’ordre s’appuie sur une relation de confiance entre les citoyens et les autorités. Bien que cette confiance est souvent accordée aveuglément, elle est néanmoins utile à notre bien- être à tous. Que les autorités soient fautives à certains égards, nul n’en doute. Mais qui peut affirmer honnêtement que nous ne portons pas tous une part de responsabilité? La conscience humaine est loin d’être arrivé à pleine maturité. Dans ces conditions, il faut s’attendre à ce que tarde à venir la pleine maitrise de nos comportements. Dans l’intérim, il serait sage de ne point nuire au maintient de l’ordre.
C’est pourtant ce que nous faisons lorsque nous entretenons des intentions hostile à l’égard des forces de l’ordre. Qui, dans toute sa vie, n’a jamais porté d’accusations gratuites pour éviter le blâme? Quelle est la portée de ce blâme indu lorsque nous sommes collectivement mis à l’épreuve? Nul ne pourrait dire si cela ne suffirait pas à paralyser l’exercice du pouvoir de façon irréversible. Devrons-nous vivre un tel bouleversement avant de nous apercevoir que n’importe quel ordre est préférable au désordre?
Que l’on soit démuni ou pauvre est une condition lourde à porter et cela peut devenir insupportable lorsque toute chance de salut nous est refusée. En préservant l’équilibre fragile de nos sociétés, c’est d’abord et avant tout cette chance que nous préservons. Ce travail incombe à tous. C’est à cette seule condition que les gens riches et puissants pourront faire amende honorable en restaurant la justice. Il faut redouter l’éventualité ou cela deviendrait impossible, car à cet instant, nous serions tous en péril, riches et pauvres. Nous devons savoir que les transgressions du pouvoir sont imputables également à tous, puisque la véritable puissance réside dans le nombre. Si nous voulons un monde meilleur, c’est grâce à cette puissance que nous le bâtirons. La plus grande injustice serait de voir s’évanouir cette possibilité.
Le 11 Septembre 2001 se produisit un évènement qui a transformé notre monde. L’histoire montrera qu’à cet instant, tout bascula. Depuis ce jour, un mouvement a pris naissance, qui aujourd’hui est devenu une force majeure pour la transformation de nos sociétés. D’abord nous avons majoritairement cru à une attaque venue du monde arabe, mais aujourd’hui, un important segment de la population doute sérieusement que ce soit le cas et beaucoup sont convaincus qu’il s’agissait là d’une diversion orchestrées par un pouvoir enraciné ici, au sain même de notre culture. Cette idée est profondément terrifiante et beaucoup de gens refusent d’en discuter, préférant jouer a l’autruche, voir même afficher un déni farouche. mais ne soyez pas tromper par ce silence, cette idée est un fardeau lourd sur notre conscience collective depuis que des gens courageux ont dénoncé la situation et un volume impressionnant d’informations a été diffusé principalement sur l’internet.
Je ne m’attarderai pas ici sur les détails de cette information qui sont aisément accessibles à tous. Je veux plutôt attirer votre attention sur une observation qui mènera a une prise de conscience qui est vitale pour notre destin à tous. Au tournant du siècle, le portrait d’une conspiration globale commençait à émerger dans la culture populaire. Les auteurs de cette conspiration devaient trouver une façon d’enrayer son dévoilement. La puissance du nombre est redoutable et la seule façon de la vaincre, c’est de la tourner contre elle-même.
Les attentats terroristes du 911 ont été volontairement exécutés de façon a laissé voir une conspiration. Le but étant de créer un vent de révolte contre les autorités. Le terrorisme a pour objectif principal de semer la confusion, ainsi, lorsque nous accusons le gouvernement américain d’avoir ciblé ses propre citoyens, nous neutralisons effectivement ce gouvernement et le désordre qui en découle était le but visé par les terroristes. C’est ainsi qu’aujourd’hui, ceux qui travaillent à dévoiler la vérité sur ces évènement servent en réalité les intérêts des terroristes. Ce n’est pas l’état américain qui se cache derrière cet attentat, mais bien un ennemi de l’état américain. En fait, c’était un ennemi de tous les états, de toutes les religions, et de tous les peuples, c’était un ennemi de l’humanité. Je parle au passé parce que cet ennemi est maintenant défait, et je vais maintenant vous expliquer comment le pouvoir de cet ennemi a été retourné contre lui.
Qu’on se le dise, aucun des nôtres n’aurait servi de proie si le prédateur avait été connu, puisque de notre humanité solidaire se dégage un tel pouvoir qui vaincra aussi sûrement que le soleil se lève. Depuis la nuit des temps, sur la pensée de l’Homme à régner un mal indicible qui scella des alliances, qui assembla les groupes, et qui procura le pouvoir. Ce pouvoir est l’œuvre du mensonge qui a été semé dans notre subconscient et qui aujourd’hui recouvre le monde entier. Il s’agissait d’un pouvoir occulte qui tramait dans l’ombre l’exploitation de l’humanité par des principes magiques. Cette magie était en fait une science appliquée, des outils et des méthodes pour l’asservissement de l’humanité qui étaient légués, de génération en génération par les castes dirigeantes. Cette magie opérait sur les principes du mental humain et elle conférait le pouvoir de séduire les sens et d’enchainer l’esprit. Ce pouvoir est aujourd’hui en déroute grâce à l’éveil massif de la conscience humaine. Tout n’est pas revenu dans l’ordre pour autant, mais d’ors et déjà, les outils sont disponibles pour la manifestation de la souveraineté humaine.
L’homme moderne ne s’en rendait pas compte et il refusait d’en entendre parler. N’en demeure pas moins que le pouvoir sur terre s’était aggloméré entre les mains de puissants magiciens pratiquant des rites très anciens. Jadis, il y a très longtemps, ces rites avaient été édifiés pour l’avancement de l’humanité. Cette magie, qui en réalité est une science, a servi les puissants monarques du passé. Ne soyons pas imprudents au point de négliger la réalité du pouvoir qu’ils ont bâti puisque le monde d’aujourd’hui, aussi moderne soit-il, est toujours imprégné de ces très anciens principes. Il en faudra une bonne compréhension pour neutraliser définitivement leurs influences sur nos esprits.
Ce n’est pas le but de cet exposé d’entrer dans les détails de ce pouvoir occulte. Nous allons simplement regarder quelques principes de base. L’un de ces principes est que nous ne percevons pas le monde comme il est réellement. Nous le percevons plutôt au travers du filtre de nos croyances et celles-ci dépendent de l’image que nous avons de nous- même. A partir du moment où nous sommes conditionnés à croire que nous sommes inférieurs à d’autres entités. Ces entités, réelles ou fictives, exercent un pouvoir sur nous. Ce pouvoir est au cœur des affaires de notre civilisation puisque les religions et les croyances de toutes sortes ont toujours été le point rassembleur des multitudes qui cherchent une réponse au terrible fardeau de l’incertitude.
Soyez certain d’une chose; l’humanité n’est inférieure à rien. Notre position est unique et toutes les réponses dont nous avons besoin sont accessibles à notre intelligence. Il suffit d’affirmer cette réalité pour activer son principe. Il suffit qu’un seul individu active cette intelligence en lui-même pour déclencher une réaction en chaine qui nous libèrera de notre condition de soumission. Voici un autre principe important : l’Esprit est au cœur de la réalité et grâce à lui nous avons le pouvoir de transformer la réalité.
La croyance en Dieu a été la plus grande force pour la solidarité dans le monde, mais voici que cette croyance est maintenant devenu l’objet d’une lutte de pouvoir qui menace notre monde comme jamais auparavant. Nous sommes arrivés à la frontière de cette croyance et maintenant, une question s’impose; si nous avons été créé par un Dieu unique, est- t-’il possible que nous ayons en nous-mêmes les réponses dont nous avons besoin? L’obéissance à Dieu est un test de notre amour. Comment pouvons-nous justifier par cette croyance une guerre mondiale? Nous devons savoir que tout ce que nous croyons dépend de notre propre consentement. Il faudra développer une très forte identité pour abolir ces croyances, mais il faut d’abord apprendre à nous connaître nous-mêmes pour découvrir que nous avons nourri ce monstre que nous devons abattre aujourd’hui. C’est notre pouvoir qui a nourri la Bête et il est de notre devoir d’empêcher la destruction qui se propage. Ceux qui continueront à blâmer les autorités ne feront que jeter de l’huile sur le feu. Nous avons allumé ce feu et c’est à nous de l’éteindre.
Trahison après trahison, est mit en évidence le besoin de rédemption. Cette rédemption, nous la chercherons devant l’insoutenable supplice d’avoir à gérer un monde gouverné par la peur et nous la trouverons dans le courage de nous regarder nous-mêmes dans le miroir pour voir chacun notre responsabilité.
Soyons donc solidaires les uns des autres afin de trouver le réconfort nécessaire pour faire face au défi. Trouvons une façon de renouer avec notre humanité, au travers des frontières qui nous divisent. Lorsque sera franchi l’ultime frontière qui sépare les riches des pauvres, tous ceux qui la rechercheront sincèrement obtiendront rédemption puisque que nul n’est au delà de sa grâce. Ainsi nous serons unis et les outils du pouvoir seront offerts à ceux qui ont l’humaine vocation d’aider leur prochain.
Nous avons une opportunité de mettre à l’œuvre cette rédemption avec la mise à jour d’un réseau international de pédophilie impliquant un grand nombre de gens puissants. Ce qui est extrêmement préoccupant, c’est que ce dévoilement coïncide avec la révélation au grand public, qu’il existe sur terre un pouvoir très ancien dont la puissante influence était insoupçonnée par la grande majorité des gens. Un lien très certain existe entre la putride décadence des individus impliqués et l’aspect secret du pouvoir qu’ils détiennent. Une machine occulte qui dépend en partie de l’adhésion, de la part de ses opérateurs, a des principes entièrement antihumains. Immanquablement, ce genre de révélation provoque de sévères commotions.
C’est pourquoi il est important de comprendre que les liens de cette sordide affaire avec les outils du pouvoir sont très complexes. Un grand discernement est essentiel pour comprendre de quelle façon la sévérité des crimes commis risquent de provoquer un effondrement global de la civilisation qui serait irréversible et dont personne ne profiterait. Certes, justice doit être faite et cela implique d’emblée que soit préservées les vertus de l’œuvre ainsi ternie contre les allégations niant la bonne volonté de ceux qui ont diligemment lutté contre son avilissement.
Si l’on prend l’exemple de l’Église catholique, nous avons des accusations d’abus sexuels pesants contre de nombreux prêtres. Selon certaines accusations proférées publiquement, le Pape lui-même serait complice dans cette abominable façon de faire. Est-il possible que dans de telles circonstances, l’humanité oublie tout ce que cette Église a fait pour aider les pauvres, les démunis, et les victimes de toutes sortes. L’histoire de cette vénérable institution comporte des aspects lugubres, mais jamais ne peut être effacée l’importance de son œuvre sans que soit détruit un très puissant héritage pour l’humanité. Si vous avez déjà protégé et soignés des gens démunis, vous savez que cela est très difficile, et regardez combien rares sont ceux qui en ont le courage. Bien que l’Église ait agi parfois brutalement pour réprimer les hérétiques, elle n’a jamais détruit l’attachement que des multitudes ont conservé pour son message d’amour et de partage.
Entre les toilettes du Pape et le message du Christ, il y a toute une humanité coincée entre le désir de faire le bien et le confort de ne rien faire. De ce plaisir coupable qui tue l’amour, nous en avons tous goutté, quand nous devons à chaque instant garantir notre survie et que la vie n’offre souvent guère de soulagement que par ce plaisir. Ce plaisir coupable qui rend aveugle est l’expression d’une humanité qui souffre. Bien que pour la plupart d’entre nous, Il n’y a aucun plaisir qui soit si grand qui nous permettrait de faire du mal à des enfants. Nous sommes tous capables de reconnaître les appétits voraces qui nous tourmentent à certains moments et combien il faut d’amour pour ne pas fléchir.
Lorsque l’homme reconnaît le prédateur en lui-même, il sait reconnaître la marque de ceux qui sont trop lâches pour le pouvoir. Aujourd’hui il y a des loups parmi nous et nous pouvons seulement en déduire que nous avons été lâches nous aussi. Même quand nous n’avons jamais touché à un enfant de cette manière horrible, nous sommes aussi coupables de ces crimes. Quand les loups parlent d’amour, les agneaux sont complices par leur silence. Le mal doit être purgé à la source et nous devons comprendre ce qui rend faibles les fidèles devant les sermons malhonnêtes et combien riche sont les menteurs. Si riche que le mensonge devient un empire dévorant le fruit sacré de la foi.
Mais d’où vient cette appétit vorace pour que les plus belles paroles servent les plus laides ambitions, et le fardeau du pauvre devienne le délice du riche? Cette chair tendre et succulente, n’est- elle pas ce qu’il y a de plus précieux sur terre, et comment l’avons nous donné en pâture!
Que le Vatican soit peuplé de pédophiles, c’est ce que beaucoup croiront. Mais en réalité, leur silence provient probablement du fait qu’ils cherchent à protéger l’image d’une communauté bien ordonnée contre les éclaboussures que causent de telles révélations. Les enfants victimes d’abus sexuels ne sont pas silencieux, mais ils finissent par se taire quand leurs témoignages sont reçus dans la crainte. Jamais je ne croirai que la douleur des enfants abusés de la sorte n’est pas visible pour les gens de bonne volonté qui sont majoritaires partout sur la planète. Les enfants comprennent rapidement qu’il n’est pas convenable de parler de ces choses-là et c’est la raison pour laquelle il est si difficile d’obtenir le témoignage des enfants dans ces cas. C’est de cet inconvénient dont il est question dans cette affaire. Cet inconvénient majeur qui vit dans la psyché des gens bien pensants qui refusent de voir ce qui les dérangent sans se rendre compte que leur aveuglement les rend complices. Le mensonge se nourri du bonheur de ceux qui sont aveugles face au malheur des autres.
Si nous devons trouver la cause de telles injustices perpétrées contre des victimes innocentes, c’est cette crainte qu’il faut comprendre. Cette crainte qui habite en nous lorsque nous n’avons pas le courage de vivre au-delà des apparences. Lorsque les autorités protègent les criminels, elles le font souvent parce que les conséquences d’une action punitive comportent des risques alors que la complaisance silencieuse semble si facile. Comment nettoyer la corruption lorsque cela implique son dévoilement? Ce serait plus facile si la population acceptait sa part de responsabilité.
Vous jugez peut-être ce sujet trop sensible, et en apparence, vous pourriez avoir raison, mais en profondeur, il y a des facteurs qui vous échappent probablement à cette heure- ci, mais vous verrez bientôt la très grande pertinence de tels propos. Ce message est vital, même pour ceux que je vise. Il ne s’agit pas ici d’une dénonciation mais d’un appelle à la rédemption. Si nous gardons tout ça sous silence et que demain l’Église tombe, laissant un trou béant dans notre mémoire collective, alors nous saurons que le mensonge avait une emprise sur nous.
L’un des plus grand mensonge qui a contribué à la situation actuelle est dans l’idée absurde que l’Église catholique romaine tire son principal revenu de la dime versée par les fidèles et de la quête recueillie le dimanche, occultant ainsi la prodigieuse fortune que détient cette Église par le truchement des investissements qu’elle a placés depuis l’époque ou le Pape nommait les rois, investissements souvent placés anonymement avec le consentement tacite des croyants. Les actifs que dissimule la banque du Vatican grâce à l’immunité législative et diplomatique de l’état souverain du Vatican sont astronomiques. Un état purement religieux en apparence, qui abrite en réalité des intérêts séculiers. Il faut bien comprendre que le principe spirituel qui permet ce mensonge est actif en chacun de nous lorsque nous manquons de vigilance.
Le mensonge religieux et politique est rendu possible, non pas à l’encontre de la spiritualité et de la moralité, mais avec son concourt, puisque c’est la quête de l’élévation et de l’avancement qui nourrit les pires bassesses lorsque le fidèle ou le constituant refuse, à sa convenance, d’exiger qu’on lui rende des comptes face aux promesses faites. Tout ça dans le but d’accéder au Paradis ou à la fortune avec pour conséquence l’érection d’un véritable enfer.
SOURCE:
http://www.francois-chartrand.tv/blog/le-mensonge
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