MANIPULATION DE MASSES
Sommes – nous conditionnés ??
Lorsqu’ on nous matraque quotidiennement avec des spots de publicités , des vidéo clips , des films , du sport , et bien le cerveau fini par subir un conditionnement indirect .
Et se matracage inhibe la chimie de notre cerveau en y secrétant l’ endorphine responsable du sentiment de bien être . A la vue d’ une musique , d’ un film , d’ un match de foot , nous secrétrons des endorphines qui nous rendront progressivement dépendant .
Toutes les personnes qui deviennent accros a la musique , au sport , au cinéma , a la cuisine le sont parceque leurs cerveaux avaient liberer tellement d’ endorphines , qu’ ils ont fini par en être dépendant comme le sont des fumeurs ou des drogués .
Endorphine . Le matracage publicitaire – musicale et cinématographique stimuleraient la chimie de notre cerveau .
Tout est dans la tête !
La production d’endorphine, littéralement, morphine produite par le corps, est stimulée par le cerveau au niveau de l’axe hypothalamo-hypophysaire, bref dans la tête. Des travaux récents ont montré que certaines stimulations extérieures permettaient de la synthétiser en abondance, en tout cas suffisamment pour qu’elle ait une incidence sur notre vie quotidienne. Parmi ces stimulants, on retrouve le stress (pour les angoissés), le chocolat (pour les gourmands), mais aussi la pratique du sport (pour les avides de bien-être).
Un peu d’effort !
Ainsi, les sports d’endurance (course à pied, vélo…), de salle (cardio, fitness, aérobic…), mais aussi les sports avec des changements de rythme important (rugby, football…), amplifient cette sécrétion. Seule contrainte pour permettre à cet opiacé de se déverser dans tout le corps et jouer son rôle « d’élixir de jouvence » : l’effort doit être constant et se prolonger pendant au moins 30 minutes.
PAVLOV . Le conditionnement par les reflèxes .
Dés les années trente, les travaux s de Pavlov ont mis l’accent sur le coté “réflexes” de certains comportements animaux et par contrecoup, du comportement humain. Si on associe un bruit de sonnette à la présentation d’une pâtée, le chien “apprendra” à saliver à chaque coup de sonnette. En continuant le conditionnement, seule la mise en scène sera bientôt nécessaire, sans même de sonnette.
L’expérience de Pavlov
Ainsi, par exemple, la publicité visera à remplacer le plaisir né de la consommation d’un produit par un symbole associé à ce plaisir et à ce produit. La vue du symbole déclenchera alors le réflexe d’achat.
La matraque de Séguela pire que celles des CRS ?
La manipulation sera d’autant plus rapide et efficace que les stimuli conditionnels seront répétés et exercés de façon quasi-constante. Ainsi le matraquage publicitaire, par exemple, ne devient efficace que parce qu’il est “matraquage”. A l’inverse, une publicité isolée n’a guère plus d’impact qu’une information banale, voire moins, car entachée d’un a-priori défavorable, celui de son caractère intéressé. Pourtant en répétant le message à l’infini, le matraquage parvient à saturer les capacités critiques et le jugement. Il laisse filtrer les informations erronées contenues dans le message, leur donne une dimension de vérité, et finit par arracher la conviction ou la conversion de celui qui la subit.
Les enfants “protégés” du porno, laissés en pâture aux promos
Tout l’art du manipulateur est de s’adresser à des personnalités fragiles et, si besoin est, de les fragiliser en les soumettant à des manoeuvre redondantes destinées à user et à abattre leurs défenses. On voit immédiatement le profit que peuvent tirer les publicitaires de la mise en place progressive d’inductions d’achat chez les enfants et adolescents. Même si ceux-ci sont provisoirement dénués de pouvoir d’achat ou si ce dernier est dévolu aux parents, la manipulation publicitaire fera d’eux de futurs adultes consommateurs. Il suffit pour cela d’attendre et de persister dans le conditionnement.
http://lesmessagersdutemps.com/manip.html
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